• Arnolphe: Ilane

    Alain: Simon 

    Arnolphe: Ah! enfin vous mouvrez...

    Alain:  Excusez moi Monsieur, de ne pas vous avoir ouvert plus tôt, mais je n'arrivais pas à reconnaître votre voix derrière la porte!

    Arnolphe: Ah oui! Tu ne reconnais pas ton Maître?! Je vais te dresser à apprendre les bonnes manières!!

    Alain: Êtes vous autant en colère que vous montrez?! Est ce un crime de ne pas reconnaître son maître? 

    Arnolphe:  Évidement!! Mais passons là ce chapitre, je te punirai plus tard. Mais où es Georgette et pourquoi ne ma t-elle pas accueilli à mon arrivée?

     Alain: Elle est en train de continuer son travail à l'étage.

     

    Arnolphe: Mais ce n'est point une raison pour ne pas m’accueillir !

     

    Alain: A vous dire vrai, Georgette .....

     

    Arnolphe: Georgette quoi ?

     

    Alain: Georgette a peur de vous...

     

    Arnolphe: Peur de moi ?!

     

    Alain: Oui.

     

    Arnolphe: Et toi, Alain, as tu peur de moi également?

     

    Alain: Oh... Diable oui!....

    Arnolphe: Et pourquoi donc avez vous si peur de moi?

    Alain: C'est que nous vous trouvons violent par moment...

    Arnolphe: Violent, moi?!

    Alain: Oui, vous êtes violent.

    Arnolphe: Et quand donc?!

     Alain: Quand votre humeur est échauffée... Comme la fois où, vous m'avez frappé avec un bâton, et après votre seul explication à cette fut de me dire que je le méritais... je n'avais pourtant rien fais de mal.

    Arnolphe: Tous maîtres qui se respectent doivent donner des coups à ses valets pour montre sa puissance. Tu n'as pas a te rebeller contre cela!

    Alain: Je me tiendra a ça.

    Arnolphe: Mais si ma méthode ne vous conviens pas à toi et Georgette, tâchez de vous tenir bien avec moi. J'en serai peut être indulgent.

    Alain: Vas pour cela... Regardez, Agnès descend avec Georgette... Je me retire pour laisser seul avec elles.

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Arnolphe (Ilane) // Alain (Simon)

     

    Arnolphe:  Ah! enfin vous mouvrez...

    Alain: Excusez moi Monsieur, de ne pas vous avoir ouvert plus tôt, mais je n'arrivais pas à   reconnaître

    votre voix derrière la porte!

    Arnolphe: Ah oui! Tu ne reconnais pas ton maître ?! Je vais te dresser à apprendre les bonnes manières!!

    Alain: Êtes vous autant en colère que ce que vous me montrez? est-ce un crime de ne pas reconnaître son

    maître ?

    Arnolphe: Évidement!!! Mais passons là ce chapitre, je te punirai plus tard!...

    Mais où est Georgette et pourquoi ne m'a t-elle pas accueilli à mon arrivée ?

    Alain: Elle est en train de continuer son travail à l'étage.

    Arnolphe: Mais ce n'est point une raison pour ne pas m’accueillir !

    Alain: A vous dire vrai, Georgette .....

    Arnolphe: Georgette quoi ?

    Alain: Georgette a peur de vous...

    Arnolphe: Peur de moi ?!

    Alain: Oui.

    Arnolphe: Et toi, Alain, as tu peur de moi également?

    Alain: Oh... Diable oui....

    Arnolphe: Et pourquoi donc avez vous si peur de moi ?

    Alain: c'est que nous vous trouvons violent par moment...

    Arnolphe: Violent, moi ?!

    Alain: Oui, vous êtes violent.

    Arnolphe: Et quand donc ?!

    Alain: Quand votre humeur est échauffée... Comme la fois où, vous m'avez frappé avec un bâton, et après votre seul explication à cette violence fut de me dire que je le méritais... je n'avais pourtant rien fais de mal.

    Arnolphe: Tout maître qui se respecte doit donner des coups à ses valets, pour montrer sa puissance. Tu n'as pas à te rebeller contre cela!

    Alain: Je m'en tiendrai à ça.

    Arnolphe: Mais si ma méthode ne vous convient pas, à toi et Georgette, tâchez de vous tenir bien avec moi. J'en serai peu être indulgent.

    Alain: vas pour cela...  Regardez, Agnès descend avec Georgette..... Je me retire pour vous laisser seul avec elles.

     


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  • Bonjour, avec Ilane nous allons refaire un extrait de théâtre quand Arnolphe passe la porte et là nous allons imaginer une discussion entre Arnolphe et Alain sans Georgette.


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  • Télécharger « Théâtre Français.docx »

    onjour voici mon travail. J’ai choisi l’acte I scène2 où Arnolphe tape à la porte.

    Alain : Qui tape à la porte ?

    Arnolphe : Ouvre-moi  frère. Cela fait 10 jours que je suis partis, normalement vous devriez être content !

    Alain : Je ne te connais pas, et tu ne m’appelles pas frère !

    Arnolphe : Mais c’est moi !

    Alain: Georgette!?

    Georgette:  Qu’est ce t’as?

    Alain: Obéi et va lui ouvrir! Et que ça saute !

    Georgette : Non mais oh vas-y toi !

    Alain : Non tu y vas dépêches !

    Georgette : Et bein l’autre de dehors attendra car je n’y vais pas !

    Alain : Puisque c’est comme ça moi aussi !

    Arnolphe : Je peux vraiment compter sur personne purée ! Ça fait depuis vos énervements que j’attends. Alors dépêchez-vous d’ouvrir ! Je ne vais pas attendre 3 plombes !

    Georgette : Tu es qui ?

    Arnolphe : Votre cousin !

    Georgette : Alain !?

    Alain : Qu’est ce t’as ?

    Georgette : C’est lui, dépêche-toi de lui ouvrir !

    Alain : Ba vas-y toi !

    Georgette : Non car je fais la bouffe !

    Alain : Moi je regarde la télé tranquillement, donc tu veux aller lui ouvrir et tout de suite ! Non mais oh c’est qui, qui décide ici !

    Arnolphe : Si tous les deux, vous ne venez pas ouvrir je défoncerai la porte !

    Agnès : N’essaye pas car qui c’est qui vas la payer après ?!

    Alain : Enlève toi je vais aller ouvrir !

    Georgette : Non c’est moi !

    Arnolphe : Il faut que je sois bien patient avec vous, purée !

    Alain : Oui et bein alors dit lui que c’est moi qui vas t’ouvrir !

    Alain et Georgette se précipita pour aller ouvrir la porte et Arnolphe entra 

    Alain : Sale peste , ça devait être moi !

    Alain voulant mettre des coups de bâtons à Georgette, tapa Arnolphe

    Arnolphe : Tu t’es pris pour qui pour me taper avec un bâton Alain !

    Alain : Excuse c’est elle aussi !

    Arnolphe : Qu’est-ce que tu peux être lourd !

    Arnolphe enleva plus d’une fois la casquette d’Alain

    Arnolphe : Qui t’as appris à parler avec ta casquette devant moi ?!

    Alain : Oui, excuse-moi, frère !

    Arnolphe : Alain ?!

    Alain : Quoi ?

    Arnolphe : Fait descendre Agnès !

    Arnolphe : Georgette quand je suis parti ,Agnès fut- elle triste ?

    Georgette : Elle était ni triste ni joyeuse !

    Arnolphe : Pourquoi donc ?!

     

    Georgette : Elle pensait te voir à toute heure, et dès que quelqu’un passait devant notre maison elle pensait à chaque fois que c’était toi !


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